Une rencontre pleine de masque

**Satoru Kichigai**

Il faisait beau, surement bien trop pour rester cloitrer dans un bureau. Combien de temps satoru avait-il passer dans celui-ci ? Pour lui cela relevé de l'éternité et une flemme considérable le tenaillait. On lui avait offert ce poste, alors qu'il pensait pouvoir faire ce qui lui chantait. Il savait que c'était une responsabilité, mais il s'attendait à quelques choses de plus officieux. Il pensait se montrer devant des foules exorbitantes, devant ses troupes et lançait des ordres. Mais il n'avait jamais espérer faire tant d'administratif. Ou étaient les autres ? Il n'était pourtant pas seul à gérer le village, du moins il offrait cette partie bien souvent à ses "homologues"... Cela faisait quelques moi qu'on avait vue les cinq piliers réunie, une chose de tramé mais comment savoir quoi ?

Satoru se leva et passa devant l'un des gardes. D'une voie forte il annonça qu'il partait... Et il donna l'ordre important de trouver quelques secrétaire de confiance pour faire ce travail. L'anbu hocha la tête humblement et partit comme une ombre illuminé soudain. Qu'il était bon d'être seul ! Qu'il serait encore meilleur ce sentiment une foi dehors !

Après être passer dans un vestiaire, prenant des habits souples et un masque d'anbu, satoru s'en alla du village. Il avait mit se masque pour que personne ne pose de question sur son identité. Après tout personne ne le connaissait et c'était bien mieux ainsi. Ses habits étaient simples. Il portait un débardeur moulant gris, avec une veste kaki sur le dessus et un pantalon assez large noir. S'arrêtant pour prendre une cigarette il retira son masque, qu'il mit caché dans sa veste. Personne ne pouvait devenir, d'où cette homme venait et il était heureux comme ça... Personne ne viendrait tenter de venger un frère perdu durant la guerre, ou quoi que se soit d'autre.

Cigarette en bouge, la direction d'aujourd'hui était kusa... Un beau petit pays presque épargnait... Il n'était pas tout feu tout flamme dirons nous. On voyait à peine les ravages de la guerre et cela plaisait à satoru qui avait choisi cette destination sans trop y penser.

L'air frais... C'est ça hum... C'est ennuyant.

Il n'y avait pas grand chose à faire une foi arriver... Courir un peu partout, de plaine en plaine, de petite rivière en petite rivière, sans trouver personne avec qui s'amuser... Peut à peut la mélancolie commençait à prendre satoru au revers. Il sauta alors au milieux d'une petite étendu d'eau, 20mètres le séparent du bords. Il commença alors la méditation... Il n'avait vraiment pas grand chose à faire, ce processus qu'il n'avait pas produit depuis des années le prouvé.
Son souffle devint plus profond, ses sens plus aiguisé. Il se laissait emporter par cette nature si imposante. Un moindre bruit lui donnait un rictus, une moindre odeur soulevait ses narines. Il était dans un autre monde qui pouvait bien le lui enlever ?

**Kyhouki Gensou**

Depuis qu’elle avait assouvie sa vengeance il y a un an de cela maintenant ; la jeune fille n’avait eu d’autres ambitions que de parcourir le monde du Nord au Sud d’Est en Ouest. Elle pouvait en conséquent se venter d’avoir explorée la quasi-totalité des pays. Pourtant il lui restée encore tant à découvrir.
Kyhouki appréciée tout particulièrement sa nouvelle vie d’itinérante ; Chaque lendemains forgés dans l’incertitude avaient son lots de surprise, de découverte… La shinobie ne pouvait s’imaginer ancrée à un unique endroit ; elle en mourrerait d'ennuie. N’ayant aucune attache, elle n’était redevable de personne, libre comme l’air l’adolescente bravait toujours plus loin ses péripéties. Provoquant ainsi de nombreuses rencontres, bonnes comme mauvaises ; Elle n’était pas encore au bout de ses surprises :

Marchant le long d’un sentier de terre ombragé par la végétation alentours, Kyhouki chantonnais à tue-tête un air tout en dégustant une confiserie dont l’aspect multicolore était déjà un régal pour les yeux gourmands. D’une humeur joyeuse, la jeune fille regardait le feuillage des arbres qui la dominait. Sa répartition inégale laissait s’introduire de fins rayons lumineux. Le soleil planait au plus haut.
Bientôt le ciel s’ouvra, et l’on pu apercevoir au loin un étang. Des mouvements à peine sensibles couraient dans l'eau. Parfois un point remuait à la surface, et de là partaient des cercles légers, pareils à des rides lumineuses, qui s'agrandissaient sans fin. Qu’elle cadre enjôleur.
Soudain Kyhouki apperçue un homme qui se trouvait au centre de l’étendue d’eau, figé dans une position assise. Il ouvrit les yeux doucement, semblant déjà avoir décelé la présence de la jeune fille. Une expression si éternellement immobile habitait son visage qu’il semblait avoir était peint.

La shinobie couvrit ses yeux éblouies, encore mal habitué à la forte luminosité que dégageait l’astre de feu pour mieux voir cet étrange personnage. Elle entama alors la distance qui les séparée pour venir à sa rencontre, souhaitant qu’il la renseigne sur la direction d’un village à proximité pour s’y ravitailler. Tandis qu’elle s’approchait toujours plus, le visage de l’homme se dessinait avec les mètres parcourus.

-Étrange façon de pécher
Pensa-t-elle.

Elle ne tarda pas à atteindre le bord de l’eau.

« Pardonnait moi de vous déranger dans votre heum… méditation mais où puis-je trouver un village prêt d’ici ? »

**Satoru Kichigai**

Fille tu t'approche, prêt d'une étendu si ridicule comparé à l'homme qui y médite. Il n'était pourtant pas d'humeur agressive, non l'apaisement avait ses raisons loin de tout. Son visage serein se laissait trainé sur cette jeune adolescente. Peut comment son accoutrement n'avait rien à envier à cette arc-en-ciel à sucé. Alléchante pensée qui trotte dans la tête et qui ne devrait lors d'une méditation. Cette odeur de sucre était un supplice que les narines de satoru ne pouvaient enduré plus longtemps. Ses yeux d'un coup se plissèrent d'un air interrogatif. Se relevant à peine l'homme se propulsa de l'autre coté de la rive.
Son bon sans grasse l'amena au coté de la fille, lui accroupie. Il regardait sous tout les coutures cette forme ronde, que cette langue semblait tant apprécier. Il n'en avait jamais vue de telle... En avait-il seulement gouté ?

Tu ne me gène pas... Dit-il en pensant à d'autre chose. Tu m'en passerais une ?

Il avait dit cela en regardant fixement la sucette et tout en tournant la tête comme un chien qui ne comprenait pas. Voir un homme de cette age dans cette stature pouvait bien laisser perplexe n'importe qui. Mais lui se fichait bien de l'image qu'il donnait au gens, surtout lorsqu'il sortait comme cela de son antre.
Il se releva lentement, puis regarda la fille à un petit mètre de lui. Il ne l'épia pas comme un vicieux vielle homme, mais plus comme quelqu'un prenant information sur la personne en face de lui. Elle n'avait pas grand chose de dangereux... Mais les apparence ne sont-elle pas trompeuse ?
Satoru en avait même oublier la question de la jeune fille. Désespérait-elle d'être tomber sur ce genre d'homme pour poser question ? Plus d'un serrait déjà partie l'air effrayé de cette personne bizarre. C'était sans doute la méditation qui l'avait mit dans cette état...

**Kyhouki Gensou**

L’homme à la façon d’une grenouille, l’élégance en moins, fit un bond pour atterrir à quelques pas seulement de la jeune fille, visiblement très intrigué par se qu’elle mangeait. Il semblait ne jamais avoir vue de sucette. Même s’il est vrai qu’elle restait peu commune l’homme manquait singulièrement de classe dans chacun de ses gestes, un fait à laquelle il ne semblait s’intéresser, les yeux rivés sur la sucrerie, presque hypnotisés.

Kyhouki n’était pas la mieux placée pour apprécier la santé mentale d’autrui, et même si son comportement restait peu ordinaire elle n’en fut cependant nullement effrayée. Au contraire elle trouva même cela amusant et retint in extremis un rire ne souhaitant pas vexer l’unique source d’information qu’elle eu trouvée à des kilomètres à la ronde.

- « Tu ne me gène pas... »

- « Tu m'en passerais une ? »

N’attendant pas sa réponse il se redressa posément de toute sa hauteur.
Ils s’échangèrent un regard silencieux avant que la jeune fille ne lui réponde :

-« Ca serait avec plaisir. Mais ils ne m’en restent plus. Peut être pourrais-je en confectionner de nouvelles si tu voulais bien m’indiquer la route. »

Accompagnant ses paroles d’un sourire dont ont ne pouvaient déceler la part de sincérité, la shinobie se questionnait sur l’individu se trouvant face à elle. Malgré l’allure qu’il voulait bien se donner, il n’avait rien d’un citoyen lambda. Aucun signes apparents ne le liés à un pays ; mais alors d’où venait-il ? Qui était-il ? Peut être était-il lui aussi un voyageur tout comme elle. Kyhouki fut extirpée de ses pensés alors qu’il lui répondait.

**Satoru Kichigai**

Un sourire, ne serait-il pas forcé après la destruction d'un rêve ? Elle n'en avait plus en sa possession de cette succulente chose. L'air boudeur de satoru voulait tout dire... Elle lui enlevait le plaisir de sa journée. Pour lui elle lui avait gâché ce soleil, cette nature. Comme un enfant capricieux il se retourna, lui faisant dos. Elle était shinobis sa se voyait... Si il lui volait sa chose ronde peut être qu'elle se défendrait ! Ou même pire car elle était une femme ! Elle aurait pu pleuré comme un enfant ! Non satoru ne voulait pas ça... Combattre en ce jour était la meilleur des solutions pour obtenir ce qu'il voulait ! Mais pouvait on obtenir tous ce que l'on veut avec de la force ? Pour l'homme la réponse était claire. Il pouvait tout avoir avec sa force... Mais la réalité de la chose est tout autre !
Tout d'un coup comme un éclair survint en lui. Il se retourna brusquement et lança un regard attentionné à la damoiselle en face de lui. Confectionné ! Mais bien sur c'était ça la réponse, si il l'accompagnait ! Oui si il lui montrait ou aller elle pourrait lui en faire et qui sais lui montrer comment faire lui même ! C'était presque du chantage, mais il s'en fichait pas mal.

Chantage ! Mais bon tu le vos bien... Allons ensemble jusqu'au village de taki, sa fait bien longtemps que je n'y suis pas allais ! J'espère qu'il ne serra pas en ruine...

Fausse note de malêtre... Si taki était en ruine sans doute y était-il pour beaucoup. Lui qui présidait toute cette guerre et cette désolation. Ses préoccupations ne sonnait pas fausses dans sa bouche lorsqu'on ne le connaissait pas. Mais si on s'attachait plus particulièrement à sa personne on pouvait vite se rendre compte qu'il s'en fichait pas mal.
D'un mouvement rapide il mit les mains sur la taille de la jeune fille. L'empoignant fermement sans lui faire de mal il la poussa en avant avec lui. Il voulait la faire marcher à coté de lui... Mais peut être ce mouvement était-il trop inattendu !

Allons y !

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