♦ Nom:Otori. ♦ Prénom: Mitsuo. ♦ Surnom: "Le Tonnerre Sombre" ♦ Age:17 ans (15/01/23) ♦ Village: Kumo ♦ Poste Visé:Pilier de Kumo

Le Clan Otori:
Spécialité: Kekkai Genkai (Déplacement Instantané)

Ce clan est très ancien, dispatché en plusieurs famille ayant une caractéristique commune, l'art du déplacement instantané. Le plus connu de ces membres et bien évidement Minato Namikaze, dit l'Éclair Jaune de Konoha. Le clan Otori est composé de 5 grandes familles:

- Les Otori, membres originales, née à Kumo.
- Les Namikaze, basés à Konoha.
- Les Kikuta de Suna.
- Les Muto d'Iwa.
- Shingen de Kiri.

Le clan Otori prend sa source bien avant la création des villages cachés. Il était un clan respecté pour sa vitesse, mais en réalité, il s'agissait bien de déplacement instantané à plus ou moins de distance. Minato avait réussit à faire briller sa légende en se repérant dans l'espace grâce à des balises. Mais l'utilisation de Mitsuo est bien différentes, étant aveugle, il a développer à outrance ses autres sens, ce qui fait qu'il n'a plus besoin de repère spatiaux. Les membres des Otori, en plus du don de la famille, était féru d'arme blanche est les plus grands Otori était aussi des maitres d'armes formidable. Le problème restait dans la manipulation des autres arts ninjas (Ormis le Kugutsu). Chaque membre ne pouvait utiliser qu'une seule affinités, jamais d'exception. Le Genjutsu n'a jamais été pratiqué au sein du clan et seul quelque rares membres ont réussi l'exploit de maitriser les grand arts ninjas. (Minato avec son Fuijutsu).

Ps: Je ne développe pas les autres familles pour laisser (peut-être) un autre membre de cette famille, laisser libre court à son imagination.

♣♣ Présentation Physique de Votre personnages:

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Un espoir aveugle, une cécité divine, un bandeau sombre et un voile de mystère. Commençons par le commencement, l'adage dit qu'il ne faut pas se fier aux apparences, je suis d'accord. Mitsuo n'est à pas à prendre au premier degré, sinon vous n'auriez en face de vous qu'un pauvre shinobi, vêtu le plus souvent d'une cape miteuse, gris foncée, d'une couture simpliste. Se qu'il cache en dessous n'est pas bien étonnant, des vêtements sombre, pour la plupart, emprunté au style shinobi de base. Mais penchons nous à présent sur les détails. Un long sabre traditionnel et toujours dans le dos de ce shinobi, sur le manche on peut lire « La Justice est Aveugle ». Son fourreau est tout aussi sobre que son propriétaire. Sion relève la tête pour le regarder en face, nous ne verrons pas ses yeux, caché par un bandeau. Ses cheveux gris sont plus long que semble le vouloir la norme. Si l'on ne fait pas attention, il peu probable de l'apercevoir, car malgré sa cécité, le jeune homme reste tout aussi invisible aux yeux des autres que le monde ne l'est pour lui-même. Je vous parlerez bien de sa musculature, mais il serait impossible de la qualifier de « normal » pour son âge car au premier coup d'œil, il est impossible de lui donné un âge. Il semble planait, non marcher à travers les rues du village caché des nuages, une ombre aveugle.

♣♣ Présentation Psychologique de Votre personnages:

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Côté morale, vous voulez dire à part la noirceur constante qui émane de lui ? Il est loyale à Kumo, depuis le drame, il voue une foie sans faille a Kumo et à son maitre, le Raikage. Il ne parle que pour dire quelque chose de censé, vous ne l'entendrait pas faire de vannes crasseuse. Il est pessimiste de nature, désabuser et complètement insensible à ceux qui l'entoure, ce qui peut frustré la plupart de ses compagnons d'armes. Il n'éprouve plus rien. Le choc de Kiri l'a métamorphosé. Ses capacités intellectuelle sont néanmoins indiscutable et sans être un génie, il sait analyser une situation et déterminer quelle sera l'option la meilleurs. Il ne discute pas les ordres et fais ce qu'on attends de lui. Ses pouvoirs ont fait de lui une petite légende au sein du village caché des nuages, mais personne n'ose lui parlait. Il faut dire qu'il n'ai pas sociable. Ont ne pourrait pas l'inviter à fêter la réussite d'une mission, il plomberait l'ambiance immédiatement. Que dire de plus ? Il reste déterminé, inflexible et insondable, en quelques mots, un cœur de pierre dans un corps de diamant.

♣♣ Histoire:

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L'histoire d'une vie n'est pas chose aisé à conter. Je vais essayer de faire au mieux pour la rendre compréhensible et limpide. Pour tout comprendre, il faut d'abord se mettre dans la peau d'un orphelin, abandonné aux portes de Kiri, âgé de 6 mois, sans mots... Après décisions du conseil de Kiri, il a été établit que ce neo fœtus ne représentait aucun danger pour Kiri et qu'il serait possible pour un couple consentant de l'adopter et de l'élever au sein des shinobi de la brume. Ce que firent Matsuda Miyasaki et Kaede, sa femme. Le petit bonhomme atteint l'âge de cinq ans dans une maison où régnait l'ordre, la discipline et il faut le dire, la bienveillance. Bien que son « père » , Matsuda, lui enseignait l'art de se tenir, lui faisait faire des balades en forêt en le guidant dans la brume herboriste des alentour de Kiri et lui mis un sabre en bois dans les mains à l'âge de 3 ans, il tenait beaucoup à cet enfant qu'il était fier d'appeler « fils ».

Mitsuo avait reçut se nom de son grand père, le grand sabreur Miyasaki, fierté de la famille et exemple à suivre. Matsuda était brave, autoritaire, mais fin sabreur et maitre de la méditation, ce qu'il enseigna à son fils. Kaeda observait de la maison, amusé, l'entrain qui habitait son mari et l'application de son fils pour les exercices proposé. Le problème dans le village de Kiri reste néanmoins le cap des 6 ans. Bien sûr il fréquentait Hotaru no Haka depuis qu'il savait marcher et suivait les préceptes shinobi avec autant d'application que ceux des sabreurs, mais ce village reste tout de même un endroit cruel.
Il reçut le jour de ses 6 ans, de son père, un sabre fin avec gravé ces quelques mots sur le manche: « Le Justice est Aveugle ». Un sabre forgé des mains même de Mitsuo le premier. Certes il était trop petit pour manier un tel sabre, mais Matsuda lui avait promit de le garder pendant qu'il irait passer l'épreuve d'examen des Gennins. Sa mère lui offrit un bandeau et une tunique, de couleur sombre, mais neuves, qu'elle avait cousu elle-même. Il fut si joyeux ce jour-là, si heureux, il embrassa sa mère et salua son père, un sourire naïf poser sur ses lèvres. Sa mère le regarda partir, les larmes aux yeux. Mitsuo ne compris pas tout de suite pourquoi elle avait pleuré ce jour-là. Il allait en faire l'amer expérience. Il avait été décrété qu'il n'était pas dangereux pour Kiri, mais en tant qu'étranger, il devrait suivre une formation shinobi et s'il survivait à l'épreuve des Gennins, il pourrait être considéré comme un rejeton des brumes.

Son père l'accompagna jusqu'au bâtiment de l'école, situé au même endroit que le vénérable maitre Mizukage. Mitsuo souriait toujours et lorsqu'il rejoignit ses camarades, tous avaient reçut de beau présent pour leurs anniversaire, le dernier cadeau fait à un mort-vivant. Tous les père regardèrent leur enfants partir sous le commandement des Chunnins, navré d'avance de leur basses besognes. Ils jetèrent un dernier regard apeuré sur leur rejetons et rentèrent chez eux, certains les larmes yeux, certains récitaient à voix basses des prière animistes sur la bonté de l'eau. En tout cas, les petits et petites ne surent pas vraiment à quoi s'attendre.

La petite troupe avait changé de regard et de visage depuis un moment, leur senseï et enseignant venait de les informés de la suite des évènements. Deux garçons se mirent à pleurer sur le champ et une petite fille s'était malencontreusement fait dessus. Leurs ainés quittèrent les lieux, laissant les enfants seul face à leurs destins. Mitsuo ne parlait plus, il méditait, on lui avait enseigné à ne pas avoir peur, qu'un ninja ne pleure jamais et qu'un sabreur réfléchit avant de s'apitoyer. Il se mit face à ses compagnons d'infortune et parla à voix haute, et, bien que ses mains ne cessaient de trembler, il rassura ses compagnons et proposa un itinéraire. Un garçon nommé Shigeru et une fille qu'on appelait Shizuka rejoignirent Mitsuo dans son discours. A eux trois, ils menèrent les enfants dans des endroits calmes, ils s'entre-aidèrent, rassurant les autres, leur racontant de belle histoire et se consolant auprès des autres très jeunes leadeur. Ils avaient été lâché, sans armes avec aucune autres missions que de survivre pendant deux mois. Les trois enfants devinrent inséparable et pédagogue au fils des semaines et lorsque l'heure fut de rentré au village, tous les enfants étaient sain et sauf, ils avaient pris du charisme, ils ne pleuraient plus et tous avait grandit intérieurement.

Ils retrouvèrent leur senseïs au abord d'une clairière à quelques kilomètres seulement de leur maisons. Les premiers mots dit furent: « Nous sommes fier de vous! » ou encore « Vous avez réussit ». Encore une fois, les sourires de joie laissèrent place à une situation sanglante et affreuse d'un point de vu humain. Ils donnèrent une nouvelle fois des ordres, les plus cruels que Mitsuo n'est entendu depuis. Ensuite tout devint flou. Leur maitres avaient jeté au sol plusieurs Kunnaï, mais bien moins nombreux que le nombre d'enfants. Il fallut quelques secondes aux plus téméraire pour qu'ils se jètent sur les lames éfilées. Ce n'est qu'après le dernier cris étouffé par le sang d'une petite fille qui venait de s'écrouler sur le sol que Mitsuo réalisa la situation. Il regarda ses mains, elle transpiraient, de la sueur perlé sur son front et dans son dos. Shizuka et Shigeru étaient à ses côtés et tout trois se jetèrent un regard, ils avaient compris. Il s bondirent dans la foule que constituait les 34 enfants présent. A la fin de l'épreuve, seul 8 en sortir vivants.

Mitsuo bondissait, esquivait, frapper sans tuer. Il rechignait à tuer ses compagnons qu'il avait appris à aimé. Mais certains n'eurent aucun scrupule à massacrer leur pairs. Il fut blesser une première fois au bras. Il se détourna de sa course et tordit le bras d'un de ses compagnons, il lui arracha le kunaï des mains et les yeux pleins de larmes, il frappa au cœur. Il connaissait les points vitaux et ne voulait pas faire souffrir ses compagnons, il frappait pour tuer, pas pour torturait. Autant d'adrénaline dans le corps d'un enfant peu rendre fou, c'est ce qu'il se passa pour Shigeru. Entre deux parades, Mitsuo avait aperçut son ami se débarrasser de deux fillettes, une haine profonde encrée dans ses yeux. Il n'avait su que faire et avait continuer sa propre route vers la survie. La clairière baignait dans le sang d'innocent. Un spectacle affreux sur lequel les chunnins lançaient un regard insondable, c'était cela être shinobi, n'avoir aucune pitié, devenir une machine tueuse, sans foie ni cœur ?

Le nombre de survivant s'amenuisait, mais Shizuka, Shigeru et Mitsuo avaient survécu jusque là et un dilemme avait surgit pour notre jeune protéger. Shigeru avait soudain surgit devant lui, l'avait reconnu au milieu de ce nuage de poussière avait même pu voir des larmes coulaient le long de ses joues. Mais Shigeru se lança à l'assaut de notre héros. Mitsuo désemparé, n'eu pas le réflexe nécessaire et perdit son œil droit dans le premier mouvement. Il avait riposté et touché Shigeru au bras gauche. Les deux amis c'étaient rapidement redressé pour se tenir l'un en face de l'autre. Ils s'échangèrent un signe de tête et bondirent vers l'avant, kunaï au poing. Leur combat dura plus d'un quart d'heure, coup sur coup, parade sur esquive, saut sur accroupissement. Bientôt, les autres combats avaient cessait autour deux et 7 survivants était au sol, transpirant, souffrant, mais en vie. Seul Shizuka eu la force de se relever pour voir les deux ami s'échanger leur dernière attaques. Shigeru, couvert de coupure avait devancer Mitsuo sur leur dernier assaut et l'avait désarmé. Le jeune homme était tombé à la renverse et se tenait tout aussi mal en point que son adversaire et compagnon. Il put lire « désolé » sur les lèvres de Shigeru avant qu'il ne lance son bras vers l'avant.

Ce ne fut pas la fin de Mitsuo, mais bien celle de Shigeru. Le jeune homme ferma les yeux, acceptant sa mort, mais quelques chose se produit. Son corps fut littéralement aspiré dans un immense courant d'air et lorsqu'enfin il ouvrit de nouveau les yeux, il se tenait derrière son amis, un kunaï dans la main, enfoncé à l'endroit précis où se trouvait le cœur. Il était borgne, avait tuer son meilleur amie dans un duel à mort et venait de gagner sa légitimité au sein de Kiri. Les chunnin avait eu un frisson d'angoisse lorsqu'il avait vut l'exécution. Le jeune parias, abandonné au porte de la brume était un descendant d'une lignée redouté de Kumo. Ils sourirent intérieurement et arrêtèrent le massacre, jugeant les survivants comme suffisamment robuste pour avoir gagner leur place. Cinq filles et trois garçons avait tenu bon, dont Shizuka, en larme et Mitsuo toujours debout devant le cadavre de Shigeru. Lorsque les senseïs voulurent enfin soigner Mitsuo, il les regarda, leva son kunaï et se l'enfonça dans son œil encore indemne. Il avait choisit de vivre aveugle plutôt que de voir à nouveau un monde sans Shigeru, un monde où il vivait alors qu'il avait du abattre son ami, un monde où seul les forts survivaient, laissant les faible mourir sans rien faire... Il ne voulait pas voir un monde comme ça. C'est ainsi que le surnom de « Tonerre Sombre » lui fut affublé. La légende d'un petit garçon capable de se déplacer aussi vite que le mythique Eclair Jaune de Konoha allait devenir un atout pour Kiri.

A son retour au pays des brumes, il n'était plus le même garçon. Il avait changé. Autre son handicap, il ne prenait plus plaisir à vivre. Il avait du mal à se déplacer dans les premiers temps et les étranges aptitudes qu'il avait démontrés pendant son duel le perturbait. Qui était-il ? Surement pas de Kiri no Kuni. Ce village qui l'avait accueilli l'avait bafoué et l'avait obligé à faire des choses qu'on ne peut demander à un enfant de 6 ans. Un soir d'hiver, alors qu'il avait son titre de Gennin. Son père vint lui parler. Ce qu'il apprit ensuite ne put que le désespéré encore plus. Les Miyasaki n'était pas ses vrais parents et d'après les rumeurs qui circulaient, il était de Kumo, le grand rival de Kiri.

Ce même soir, il pris la plus grande décision de sa vie. Abandonner les brumes pour retrouver ses origines. Il en parla à ses parents, qui, devant ce petit garçon démunis et infirmes, ne purent qu'accepter sa requête. Matsuda l'aida à préparer ses affaires et tout deux partirent ensuite pour Kumo. Un long voyage se profilait à l'horizon et il ne fut pas pénible. Tous les jours, avant de reprendre la route, Matsuda faisait réciter les prières et les méditations des maitres d'armes. Ils arrivèrent à Kumo après deux semaines de voyage. Lorsque les portes de Kumo se profilèrent aux loin, Matsuda avait arrêté son fils, lui expliquant qu'il ne pourrait pas continuer.

Il lui raconta une histoire que Mitsuo devrait raconter pour ne pas être pris pour un agent double ou un rebus de Kiri. Mitsuo lui récita et Matsuda parut soulagé. Avant son départ, le vieil homme sortit un paquet de son sac, il contenait la promesse qu'il avait faite à son fils. Mitsuo ne put regarder son père en face, mais il savait que l'homme pleurait, c'était la première fois qu'il l'entendait pleurer. Le petit garçon se jeta dans ses bras et l'enlaça pendant quelques minutes, ensuite il suivit le chemin vers Kumo. Il raconta son histoire aux gardes, qui après hésitation, le laissèrent entrer. On le conduisit au temple des Otori. Un maitre l'observa quelques minutes avant d'en conclure que l'appartenance du sang était indéniable. Ce petit recevra l'éducation qu'il convient à un fils du clan Otori.

Aujourd'hui le garçon à dix-sept ans et voue une haine profonde envers Kiri. Lorsque les autorités de la brume eurent vent de la désertion du petit, ils firent exécutés Matsuda et Kaede Miyasaki. Son père et sa mère n'eurent aucun remord et affirmèrent, même devant la mort qu'ils étaient fiers de ce qu'il avait fait. Mitsuo avait pleuré leur disparition. Il avait un nouveau but. Vengé ses parents, vengé Shigeru, détruire Kiri et devenir une fierté pour la nation Shinobi !

Un pilier si jeune paraitrait bizarre en soit. Mais si tu le souhaite je te prend sous mon aile en tant que tel, faisant de toi mon "protégé".

Pour moi c'est donc oui.

Merci beaucoup, je voulais à la base intégrer l'autre unité de Kumo, mais comme nous sommes en guerre contre Kiri d'après le Background et que j'ai grandit des les brumes, autant servir à quelque chose. Merci à vous Raikage.